sergiobelluz

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Mes articles parus dans le quotidien 'Le Temps'

idioCHyncrasies *

 

LA CULTURE SUISSE DANS TOUS SES ÉTATS

 

Voilà la matière de mon blog pour le quotidien Le Temps, une Suisse avec ses spécificités et ses contradictions qui sont autant liées à sa culture qu'à son évolution sociologique.

 

Vous pouvez accéder à ce blog en cliquant sur le lien général

 

https://blogs.letemps.ch/sergio-belluz/author/sergio-belluz/

 

Vous pouvez aussi aller directement à un article spécifique en sélectionnant le lien au début du résumé de chaque article dans la liste suivante, classée par année et par ordre chronologique inversée.

 

2023

 

Une caisse maladie unique et fédérale, c’est pour quand? (26 février 2023): Est-ce que ça ne reviendrait pas moins cher pour tout le monde, et d'abord pour l’État, de simplement créer une caisse maladie unique et fédérale financée par un petit pourcentage déduit du salaire et peut-être co-financée par l’employeur, au même titre que l’assurance-chômage et que l’AVS, et sur le même principe de solidarité qui a si bien fonctionné pour ces deux assurances sociales ?

 

2022

 

Politique, l’Eurovision? Sans blague! (16 mai 2022): On sortait d’une sale guerre et on commençait à s’en remettre, alors quoi de plus rassembleur et de plus neutre qu’un concours de variétoche organisé par un Suisse, une compétition sympa voire bisounours d’où toute animosité serait exclue y compris dans les paroles et la musique ? On commencerait par sept pays d’Europe dont certains s’étaient sérieusement étripés quelques années plus tôt, l’Allemagne et la France, par exemple.

 

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L’Argent est-il neutre? (12 avril 2022): Jean Ziegler l’avait relevé bien avant, et cette guerre nous le rappelle chaque jour : la neutralité politique ne dispense pas d’une grande responsabilité éthique liée, entre autres, à la puissance économique et financière suisse et à son impact dans le monde. Notre neutralité, perpétuelle ou pas, ne consiste pas à se boucher le nez, à regarder ailleurs et à compter ses sous. Notre existence en tant qu’état indépendant et notre place dans les nouveaux rapports de force géopolitiques et économiques en train de naître ne dépendent pas que de nous. Ne l’oublions jamais.

 

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La Suisse d’en haut, la Suisse d’en bas (22 janvier 2022): À en croire les chiffres officiels relayés par les médias, la Suisse, malgré la pandémie, va plutôt bien. Mais alors, comment se fait-il que dans ce pays pour ainsi dire parfait il y ait encore et toujours plus de 15% de citoyennes et citoyens pauvres, soit près de 1,3 millions de personnes, 1 Suisse sur 6, qui jour après jour tirent le diable par la queue et vivent dans un terrible stress matériel et dans des conditions indignes d’un pays riche et civilisé?

 

2021

 

- Ça manque de pustules (17 octobre 2021): Franchement, ce covid, vous y croyez vous ? Si ça avait VRAIMENT existé ça se saurait, non ?

 

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Trains suisses et pandémie: peuvent mieux faire! (6 juin 2021): C’est sûr, la partie « poutze  et hygiène » tombe sur un terrain favorable dans un pays qui érige le « propre en ordre » en vertu capitale. Mais est-ce que ce nettoyage cinq fois par jour est utile ?

 

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Y a-t-il un vague francophone dans la publicité suisse? (5 avril 2021): Pourquoi le mauvais français des publicités suisses se maintient-il et prospère-t-il depuis tant d’années et sur tous les supports, notamment à la télévision publique, où le doublage en français lourdaud est de rigueur, avec syntaxe exotique et insertion obligée de certains termes improbables du type « avantageux », modulable en « toujours avantageux », « si avantageux » ou « toujours si avantageux » ?

 

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Si je te tutoie, tu gobes? (7 février 2021): Le tutoiement est devenu omniprésent dans la publicité suisse. On pourrait croire que c'est parce qu'on veut s'adresser aux jeunes. En fait, c'est surtout parce qu'on applique en français les dernières tendances de l'allemand et du suisse allemand.

 

2020

 

- De l’art contemporain suisse et des seins salvateurs (20 septembre 2020) : Est-ce qu’en Suisse et dans le monde, la profonde crise actuelle, tant sanitaire que politique et économique, avec ses terribles effets collatéraux et ses développements inattendus – Trump ? pas Trump ? – va réussir à nous débarrasser une fois pour toute d’un certain art contemporain devenu totalement à côté de la plaque dans sa cérébralité et son intellectualisme ?

 

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- Du 14 au 23 août, un tout nouveau festival de musique pour permettre aux artistes de se produire: allez-y ! (13 août 2020) : Saluons L’Été au verger, un tout nouveau festival qui a lieu du vendredi 14 au dimanche 23 août 2020 au Petit-Veyrier (GE) dans le verger d’une très belle propriété privée.

 

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Une apocalypse de série B? (24 mai 2020) : Il fallait bien s’attendre à un retour de balancier, une fois la peur et le confinement obligatoire passés. Et ça n’a pas raté, les critiques pleuvent sur les mesures imposées par le Conseil fédéral : Quoi ? Tout ça pour une grosse grippe qui ne touche qu’1% de la population, en majorité des vieux ? Des chiffres si minables alors que des millions de gens meurent chaque jour de faim, de la malaria, d’un AVC, du cancer, etc.?

 

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Logement et démocratie: l’un ne va pas sans l’autre, alors votez oui! (2 février 2020) : En Suisse, ça fait depuis les années 70 que le problème du logement abordable fait partie de la vie et de la lutte continuelle du contribuable moyen et pauvre. Ça fait près de cinquante ans que tout logement accessible financièrement avec un petit salaire – ne parlons même pas de ceux qui ont la malchance d’avoir des dettes ou tout autre ennui administratif – est introuvable à moins d’avoir des pistons, voire de coucher avec la directrice ou le directeur (ou, à défaut, avec le ou la secrétaire de la gérance). Cinquante ans qu’il faut faire des pieds et des mains pour s’inscrire sur des listes d’attentes auprès de gérances méprisantes, qui, chacune, ont leurs exigences particulières.

 

2019

 

Assurances-maladie: le Suisse est-il maso? (24 novembre 2019) : Subside ou pas subside, plus on est pauvre, plus on choisit une franchise élevée, et plus on évite d’aller se faire soigner, parce qu’on ne sait pas où trouver l’argent pour payer de sa poche les premiers Frs 1500.- de la franchise. La seule vraie question c’est : À quand une caisse unique ? Qu’on y comprenne enfin quelque chose et qu’on respire un peu.

 

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- Partis et élections au Conseil national: Crise du logement? Connaissent pas! (5 octobre 2019) : On sait que depuis plus de 20 ans le manque d’appartements à loyer accessible et la hausse continuelle des primes d’assurance-maladie obligatoire sont les deux plus grands facteurs d’appauvrissement pour la majorité des habitants de notre pays. Et bien pour les partis qui se présentent et représentent aux élections du Conseil national, il n’y a pas de crise du logement en Suisse. Que pouic. Nada. Nitchevo.

 

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Éloge du boui-boui: Les Bains des Pâquis, l’autre Genève internationale (14 juillet 2019) : Vous voulez connaître une Genève internationale sympa ? Oubliez ONU, OMS, OIT, OMC, ONG et tous les autres trucs en O majuscule, avec leurs personnels de toute provenance qui rechignent à goûter la longeole – du porc agrémenté de fenouil, la saucisse genevoise par excellence – et snobent les cardons ou le soufflé tout aussi genevois pour grignoter des plats lights internationaux fadasses en sirotant d’improbables drinks colorés dans des endroits aussi chers qu’aseptisés et aussi faussement chics que vraiment tocs.

 

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Le Suisse, un macho (mais ce n’est pas entièrement de sa faute) (17 mai 2019) : C’est à se demander si, en Suisse, le fameux « plafond de verre », si difficile à dépasser pour les femmes, n’est pas composé, en grande partie, de treillis militaire, un machisme  inconscient, profond et historique, une sorte de Surmoi national, dans lequel ont pataugé, bon gré mal gré, les hommes comme les femmes, ce qui expliquerait pourquoi plusieurs changements de générations n’arrivent pas à faire évoluer la situation aussi vite qu’on le voudrait.

 

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Pauvreté en Suisse, aide sociale, crise du logement : et la Constitution, bordel ? (9 mars 2019) : En Suisse, dès que vous apparaissez négativement dans le système, à cause d’un divorce, d’un décès, d’une maladie ou de n’importe quel autre aléa de la vie, c’est une tache pour ainsi dire indélébile qui ressemble beaucoup au concept de « prédestination » sélective chère à Calvin.

 

2018

 

Féminisme sixties vs Féminisme Post-Millenial (21 septembre 2018) : Dans la récente histoire du mouvement féministe, il est intéressant de comparer le travail de sensibilisation effectué dans les années 60-70 par la grande vidéaste féministe valaisanne Carole Roussopoulos, dont j’ai parlé dans mes deux articles précédents, Valaisanne, de gauche et féministe : Carole Roussopoulos ou la vidéo militante et 1969, année érotique (mais pas pour tout le monde) et les derniers avatars d’un féminisme ambigu apparu ces dix dernières années.

 

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1969, année érotique (mais pas pour tout le monde) (4 août 2018) : Pour mémoire, en 1969, la femme, en Suisse, était encore une citoyenne de seconde zone et ne pouvait toujours pas voter (il lui faudra attendre deux ans de plus).

 

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Valaisanne, de gauche et féministe: Carole Roussopoulos ou la vidéo militante (28 juin 2018) : Grâce à l’extraordinaire travail de Carole Roussopoulos et de son mari, le peintre et mathématicien grec Paul Roussopoulos, qui l’assistait dans les interviews et les prises de vue et s’occupait aussi du montage, c’est tout une histoire sexuelle, sociale et politique qui est conservée, avec sa fraîcheur, son humour et ses espoirs.

 

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La culture suisse aux artistes: "La télévision m'a tuer" (25 février 2018) : Il faut se faire une raison : un créateur suisse qui scruterait avec espoir la grille des programmes de télévision susceptible de présenter son travail littéraire, théâtral, musical, chorégraphique, cinématographique ou autre, aurait en tout et pour tout environ 20 minutes quotidiennes de programmation disponible, qui se résume à un passage au Journal Télévisé de RTS UN pour un sujet de 10 minutes à tout casser.

 

2017

 

La Suisse appartient à ceux qui se lèvent tôt, hélas (22 septembre 2017) : Vu les bouchons dans les villes et sur les autoroutes, matin et soir, toujours aux mêmes heures, pour aller au et revenir du travail, et vu les cohues, de 20.00 à 23.00, dans les magasins Migros et Coop des grandes gares suisses, alors que dans le reste du pays les magasins sont fermés depuis 19.00, est-ce qu’il n’y aurait pas lieu de fluidifier tout ça en permettant aux lève-tard de se lever tard et de travailler plus tard, ce qui favoriserait, par la même occasion, une permanence plus étendue dans certains services, notamment à l’administration ?

 

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La Genève épicurienne de l'historienne Corinne Walker (21 juillet 2017) : Calviniste, Genève? La facétieuse historienne Corinne Walker, fouilleuse invétérée d’archives de toutes sortes (procès, inventaires, correspondances privées, etc.) et dénicheuse hors pair d’illustrations ou de tableaux improbables (croûtes ou chefs-d’œuvre) démontre, en comparant images et textes, que la réalité officielle était non seulement assez loin de la réalité vécue, mais qu’en plus, si les lois se succédaient avec autant de régularité, et toujours en retard d’une mode, c’est bien que les riches et les puissants n’en faisaient qu’à leur tête. Et pas seulement : la plèbe avait aussi tendance à tirer sur la corde…

 

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Théâtre en Suisse: è finita la commedia? (24 juin 2017) : Une des raison pour lesquelles, en Suisse, et en Suisse d'expression française en particulier, on voit autant de pièces sombres, déprimantes, sinistres, à message, à thèse, à sermon, et si peu de vraies comédies où l'on rit aux éclats, est en partie due à un effet collatéral d'une culture qui reste imprégnée de protestantisme. Rire pour le plaisir de rire (le mot clé ici: plaisir) dans un monde cruel, voire apocalyptique, ce n'est pas convenable, ce n'est pas moral, c'est inacceptable, et d'autant moins acceptable si en plus on ne dénonce rien de particulier sinon des ridicules et des travers humains liés à des conventions de toute sorte et ce malgré un "vanitas, vanitatum et omnia vanitas" qui reste pourtant un des piliers du christianisme et un des rouages essentiels de toute comédie qui se respecte...

 

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Swisscom et la modernité (13 mai 2017) : Swisscom ne s'intéresse absolument pas à l'abandon de la très rentable surtaxe sur les appels et échanges de données en itinérance alors qu'au sein de l'Union européenne les frais de roaning sont abandonnés depuis le 15 juin 2017.

 

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Nom: Gardi Hutter. Profession: clowne (1er mai 2017): Dans ce pays aussi parcimonieux en argent qu'en compliment, et aussi avare en reconnaissance qu'en admiration, on est toujours surpris de voir combien d'immenses artistes qui seraient ailleurs des fiertés nationales et des stars qu'un pays orgueilleux afficherait comme preuve de son excellence sont considérés au mieux comme des saltimbanques, au pire comme des demandeurs de subvention...

 

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-  Aux CFF: épargnez-nous les détails! (20 avril 2017) : Le Suisse est si habitué à ce que les Chemins de fer fédéraux lui précisent tout dans les moindre détails (et en quatre langue minimum) qu'il panique s'il doit réfléchir, se fier à ses sens, ou pire, se renseigner. Rien que d'y penser, ça m'angoisse.

 

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Affaire L'Hebdo: vous avez dit pluralité? (2 février 2017) C'est toute l'ambiguïté des médias d'être des organes informatifs, l'expression d'une langue, d'une culture, d'une tendance politique ou sociale, mais aussi, mais surtout, des entreprises et des produits commerciaux. Or le marché publicitaire, en particulier pour la presse papier, se raréfie au fur et à mesure des développements technologiques, sans compter la multiplication des supports (papier, digital, smartphone, tablette, internet...) et la segmentation du public-cible, les nouvelles générations ne lisant que très rarement un journal papier, les autres se partageant de plus en plus entre la version papier et la version  digital, selon le moment de la journée.

 

2016

 

-  La Suisse francophone et le Syndrome Picoche (9 novembre 2016) : La vieille série policière radiophonique Énigmes et Aventures de la Radio Suisse est un des exemples types du côté un peu dénaturé, acculturé, de la culture suisse francophone, qui trouve souvent plus valorisant d'imiter ce qu'elle pense être typiquement français (dans l'écriture, dans la chanson, dans le rap, dans les débats télévisés, dans le 'stand up'...) - et de plus en plus pseudo-américain, aussi -, de créer quelque chose sur une impression de quelque chose d'autre.

 

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Depuis 40 ans les Éditions d'En Bas tiennent le haut du pavé littéraire (5 octobre 2016) : Fondées en 1976 par le sociologue Michel Glardon, la maison est dirigée depuis 2001 par Jean Richard, qui lui a donné un tour plus littéraire tout en gardant ce qui reste la raison sociale (dans le sens fort du terme) de la maison: rendre compte de la face cachée de la Suisse par la littérature, le récit de vie ou l'essai, d'ù le magnifique nom de la maison, qui, pour être complet, aurait même pu s'intituler Les Éditions d'En Bas À Gauche, même si on n'y est pas sectaire.

 

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-  On exige du people (25 août 2016) : Je propose la création de Grüezi!, un vrai magazine people helvète de proximité, certifié arbalète, 100% suisse, en quatre langues, qui fomenterait de manière plaisante cet esprit national dont on aurait bien besoin en ces temps de méfiance interrégionale et intercantonale.

 

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-  À la recherche du banc perdu (11 août 2016) : Le banc public, en Suisse comme ailleurs, est un symbole majeur de la vie en société et de la tolérance, qui permet à chacun, pauvre ou riche, abstinent ou ivrogne, bourgeois ou vagabond, travailleur ou paresseux, de poser ses fesses stressées sur un objet partagé par tous les citoyens.

 

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Mais que sont nos gares devenues? (3 août 2016) : N'était-il pas possible de tenir compte de la valeur historique, esthétique et patrimoniale des gares ferroviaires suisses, ces endroits magnifiques, dans un pays où le chemin de fer est resté le symbole d'une lutte contre la géographie, d'une conquête et d'une réussite technique et humaine extraordinaires?

 

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Le polar suisse et l'air du temps (27 juillet 2016) : L'écrivain suisse de polar Friedrich Glauser, magnifique sociologue du temps passé.

 

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Ramuz, les bonniches, les pipes, les chiens, les femmes (dans cet ordre) (20 juillet 2016) : Pour Charles Ferdinand Ramuz, une domestique n'entre pas dans la catégorie femme, ni dans la catégorie chien.

 

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L'Opéra de chambre de Genève: le petit opéra qui en remontre aux grands (13 juillet 2016) : Fondé en 1966 par Robert Dunand, Sara Ventura et Thierry Vernet - le compagnon de voyage de Nicolas Bouvier a créé de nombreux décors pour ses productions - l'Opéra de chambre de Genève fêtait avec éclat, brio, maestria, vigueur et jeunesse son cinquantième anniversaire dans la Cour de l'Hôtel de Ville de Genève avec Il Signor Bruschino, un brillant  et pétulante opéra de jeunesse de Rossini.

 

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Les CFF n’aiment pas les pendulaires, et c’est réciproque (6 juillet 2016) : On se prend à souhaiter qu'un jour, ce temps qu'on doit malheureusement passer dans les transports publics redevienne ce moment tranquille où toutes les rêveries étaient permises...

 

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L'anglais, vraie première langue fédérale (29 juin 2016) : Franchement, à quoi sert d'avoir quatre langues nationales? Est-ce qu'on a besoin du romanche pour passer à la Migros prendre un abonnement "Migros Budget" (le "Maxi One" ou le "Mini One", sans compter qu'on peut faire du "Self-Checkout" et même gagner quelque chose au "Mega Win"?) Est-ce qu'on a besoin de l'italien pour s'acheter un "Galaxy S7 Edge (Rethink What A Phone Can Do"? Est-ce qu'on a besoin du français pour aller au "Neuchâtel International Fantastic Film Festival: The Swiss Event For Fantastic Film, Asian Cinema & Digital Creation"?

 

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Littérature en Suisse: quatre langues, zéro traductions (ou presque) (22 juin 2016) : Pourquoi ne pas créer une vraie structure éditoriale suisse qui serait chargée, chaque année, de faire traduire et de publier un certains nombres de livres de chaque région dans les autres langues nationales, qu'on puisse enfin se lire parmi, histoire de mieux se comprendre?

 

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À quand un vrai Département fédéral de la culture suisse? (15 juin 2016) : On demande une vraie politique de promotion culturelle suisse au niveau fédéral, pas un vague sous-bureau du Département fédéral de l'intérieur qui s'intitule "Office fédéral de la culture" et qui mandate une grande partie de son soutien à des fondations financées par l'État.

 

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Almodóvar par lui-même (traduction) (17 mai 2016) : Le grand metteur en scène espagnol Pedro Almodóvar présente son dernier projet, Julieta, à travers quelques images du film.

 

2015

 

Être écrivain en Suisse romande? Hors de l'Université, point de salut (24 juin 2015): Si l'on se réfère à l'Histoire de la littérature en Suisse romande (Genève-Carouge: Zoé, 2015), sans université pas de talent ni de salut. Et l’avenir est sombre: le chapitre final, qui explore les possibles développements de notre littérature, s’intitule, sans rire: «Connexions, filiations et transversalités».

 

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Pourquoi il faut en finir avec la "littérature romande" (31 mars 2015) : Finissons-en avec la littérature "romande" et promouvons enfin la littérature suisse en général, et la littérature suisse d'expression française en particulier, qui ne se résume pas à Ramuz, loin de là!

 

©Sergio Belluz, 2020

 

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21/11/2018
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